Alexandre H.Condoléance
Jean-Paul... que de souvenirs. Ayant quitté la région, je t'avais perdu de vue. Je m'étais dit que je passerai te faire un coucou un de ces jours, mais ce satané temps qui passe, ce temps qui passe si vite. Il nous reste les souvenirs. Moi, j'avais puisé dans les miens il y a deux ans quand j'écrivais un roman. Il me fallait un barman, un gars des années 80, une pointure, un pro du zinc, un prince des pompes, un proche de Bacchus (ou des batchus).... Et c'est tout naturellement que je me suis souvenu de ces heures passées au Moderne avec toi. J'étais gamin. Un enfant émerveillé par tes aventures à moto et cette bienveillance constante. Combien de "Parasol-grenadine" m'as-tu servis ? Des centaines, plus peut-être ! Combien de fous rires dans cette petite cuisine étriquée ? Quelle époque ! Je pense à toi et aux tiens. Fais un bon voyage Jean-Paul. Que ta route soit moins rocailleuse qu'un erg saharien. Tiens au loin, déjà un oasis. Repose-toi. Amitiés. Alexandre.